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Napoléon, la campagne de russie - La Moscova - Episode 1
Vidéo numérique
1811. La Russie et la France sont alliées, mais Napoléon reproche au tsar Alexandre Ier sa politique commerciale favorable aux Anglais. Voulant à terme affaiblir ses ennemis jurés d'outre-Manche, Napoléon prépare une guerre punitive contre la Russie qu'il espère ramener à la raison en deux mois.
Juin 1812 : la plus grande armée jamais vue dans l'histoire européenne pénètre sur la terre des tsars. Mais les Russes refusent le combat et reculent, pratiquant la politique de la terre brûlée pour épuiser et affamer l’envahisseur. Napoléon n'écoute pas son conseiller Caulaincourt qui lui affirme que les Russes veulent enliser ses troupes pour les faire tomber dans le piège ultime : l'hiver.
Guerre en 3D
Après Au nom d’Athènes et Le destin de Rome, le nouveau docu-fiction de Fabrice Hourlier revisite un des épisodes les plus apocalyptiques de l'épopée napoléonienne. Entre les errements mégalomanes de l'empereur et une stratégie russe parfois déroutante, cette campagne quasi-suicidaire aligne les hauts faits devenus des morceaux de bravoure pour toute narration historique : la lente agonie de la Grande Armée sur les routes russes, l'incendie de Moscou, la traversée dantesque de la Berezina. Mais l'originalité du film consiste à montrer cette expédition punitive (pour quel camp, au final ?) telle qu'on ne l'a jamais vue grâce aux moyens les plus sophistiqués. Outre les images de synthèse dans les séquences de fiction, le film bénéficie du stop motion, technique inédite en docu-fiction. Figeant le temps et l'action au sein d'images en 3D, elle permet à la caméra d'explorer avec une acuité nouvelle des scènes de bataille fourmillantes. Mêlant interview d'historiens, animations de plans ou de maquettes avec une esthétique composite, Napoléon, la campagne de Russie donne une nouvelle dimension au docu-fiction, qui s'affirme comme un spectacle total.
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Biographie

Biographie

///// Style ///// Son expérience, son attirance pour l'Afrique et sa musique ont permis à Manjul de développer un dub dont il est encore l'unique représentant. Si toute la base roots dub est assurée à la manière des premiers du genre (King Tubby, Lee 'Scratch' Perry...) des instruments traditionnels comme le N'goni, le violon Sokou, le Tamani, le Ballani ou la flûte Tambine donnent à chaque morceau cette coloration particulière d'un "dub africain". De nombreux chants parsèment les productions, tous assurés par des artistes du continent, souvent déclamés là aussi de façon traditionnelle. Manjul a mis au point la fusion du dub avec le folklore africain. ///// Biographie ///// Manjul est né à l’hôpital Bretonneau et passe son enfance dans le quartier de Barbès. Il manifeste très tôt son attirance pour la musique et commence à apprendre le violon à 7 ans. Lorsqu'il a 14 ans, Manjul se tourne vers le rastafarisme et choisi de s'exprimer à travers la musique reggae. Il joue du nayabinghy et de la guitare basse avant de s'attaquer, de manière autodidacte à d'autres instruments (rythmiques et à claviers notamment). Manjul rencontre ainsi le musicien mahorais Baco Mouchid qui possède un studio d'enregistrement à Paris. Devenus amis, Manjul passe des journées entières au studio, apprenant le métier d'ingénieur du son ou regardant simplement les musiciens se produire. Aussi, suite à quelques problèmes de santé, Baco cesse son activité et donne une partie de son matériel au jeune garçon. Manjul décide de quitter la France pour l'Afrique, continent qui l'a toujours attiré, une partie de sa famille en étant originaire. En 1996 il s'installe à Mayotte où il fonde le « Humble Band » avec le pianiste Radju Chiaby et les guitaristes Oumar Touré et Hugues Valot. Pendant trois ans le groupe se produira sur l'île. Cependant les conditions sont difficile, peu de voies de circulation, l'électricité n'est pas installée et Manjul doit prendre une décision importante concernant son avenir à la naissance de son fils. En 1999 il part pour La Réunion, pressé par son ami Baco qui lui dévoile une activité musicale bien plus intense et lui propose plusieurs concerts. Manjul monte alors son propre studio analogique d'enregistrement 8 pistes qu'il baptise « Humble Ark », dans la ville de Saint-Leu. Il se met à la disposition de plusieurs artistes qui feront appel à lui pour l'enregistrement, le mixage, les arrangements, la composition et l'interprétation de certaines parties instrumentales. En 2000 il produit son premier travail avec son nom en tête, « Indian Ocean In Dub Fight 1 », une compilation de dubs réalisés dans son studio avec une pléiade d'artistes issus de tout l'Océan Indien. En mai 2001, Manjul déménage une nouvelle fois pour le Mali. L'année suivante, il remonte le Humble Ark à Bamako, la capitale et reprend son travail de production. De plus en plus d'artistes lui font confiance et il va par exemple jouer pour Tiken Jah Fakoly, Natty Dread ou Sugar Minott lors de concerts. En 2002 paraît l'album « Nou Lé Sak Nou Fé », enregistré en 1999 avec le Humble Band. Cet album dévoile la particularité du son de Manjul, mélange de musiques africaines et de roots jamaïcain. À Bamako, l'artiste accentue le concept et entreprend la réalisation d'un « Dub To Mali » des plus originaux. Toutes les techniques de productions propres au style sont utilisées (écho, delay, pasher...) et de nombreux instruments traditionnels africains sont incorporés, ainsi que des parties vocales chantées en Bambara. Divers artistes tels que Amadou & Mariam, Tiken Jah Fakoly ou Takana Zion ont ainsi participé à ce projet. En 2007 il réalise le premier album de Takana Zion intitulé « Zion Prophet » au studio Humble Ark. Depuis, Manjul et le Humble Band sont en tournée à travers la France et l'Afrique pour accompagner le chanteur. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.