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Pour que chantent les montagnes
Livre numérique
Edité par Éditions Charleston - 2022
Việt Nam, 1972.Depuis leur refuge dans les montagnes, la petite Hương et sa grandmère Diệu Lan regardent Hà Nội brûler sous le feu des bombardiers américains. Une semaine plus tard, Hương découvre les décombres qui ont remplacé sa maison : la guerre, l’ombre qui a emmené ses parents et ses oncles dans les forêts du Sud, vient de faire une entrée brutale dans sa vie.Pourtant, malgré la destruction, le quotidien reprend son cours dans la capitale. Des colonnes de fumée s’élèvent tous les soirs des abris de fortune, les éclats de rire des enfants résonnent et, peu à peu, les vétérans reviennent du front. Mais, derrière la joie des retrouvailles, Hương entrevoit déjà les sombres souvenirs qui pourraient déchirer sa famille comme les souffrances déchirent sa patrie depuis des décennies...Avec une justesse historique remarquable, Nguyễn Phan Quế Mai nous offre un voyage poignant à travers un siècle d’histoire vietnamienne, de l’occupation française à la chute de Sài Gòn. Un hymne intime à la résilience des peuples ravagés par la guerre et la mort.« UNE LETTRE D’AMOUR PUISSANTE ET IMPLACABLE DÉDIÉE AU VIÊT NAM. » - Publishers WeeklyNée en 1973 dans un petit village du nord Việt Nam, Nguyễn Phan Quế Mai a connu les ravages de la guerre dès son plus jeune âge. Autrice et poétesse reconnue, elle a été lauréate des prix littéraires les plus prestigieux au Việt Nam. Pour que chantent les montagnes, son premier roman écrit en anglais, est un best-seller international déjà traduit en 15 langues. Il a été lauréat de nombreux prix dont le PEN Oakland/ Josephine Miles Literary Award et finaliste du Dayton Literary Peace Prize.
- Classification
- FICTION / Literary ; LITTÉRATURE GÉNÉRALE / Romans [auto] ; XXe siècle, Littérature, Politique, Famille, Communisme, Mort, Asie, Société, Indochine, Souffrance, Mémoire, Fiction, Colonialisme, Époque contemporaine, Rentrée littéraire, bombardement, Hanoï, Saga familiale, Résilience, Génération, crimes de guerre, Destruction, Best-seller, Seconde guerre Mondiale, décombres, Ruines ; Romans étrangers
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Biographie
Biographie
Digne heritier d'Ibrahim Ferrer (buena Vista social Club)Roberto Fonseca est un pianiste de jazz fabuleux et encore en devenir, à suivre de trés trés près. Roberto Fonseca, un des plus brillants musiciens cubains de jazz, fut entouré par la musique et les musiciens depuis son plus jeune âge. Son père, Roberto Fonseca Senior, était batteur. Sa mère, Mercedes Cortes Alfaro, est chanteuse et ancienne danseuse du Tropicana Club de la Havane; elle chante sur le tout dernier album de son fils, Zamazu (2007). Elle fut mariée à Chucho Valdés, un pianiste de jazz légendaire. Les demi-frères aînés de Roberto Fonseca sont le batteur Emilio Valdés et le pianiste Jesús « Chuchito » Valdés Jr. « Quand j'étais plus jeune, j'étais vraiment mauvais élève », admet Roberto, bien que de façon peu convaincante (effectivement, il est titulaire d'une maîtrise en composition du prestigieux Institut Supérieur d'Art de Cuba et est devenu professeur de musique). « Je ne faisais pas mes devoirs, il fallait toujours que mes parents me poussent, jusqu'au jour où j'ai réalisé que la musique était vraiment mon truc. Je suis alors devenu plus sérieux, pas entièrement, mais du moins avec la musique ». Il a fait ses débuts à la batterie, à l'âge de quatre ans, et donna son premier concert professionnel dans un groupe qui adaptait les hits des Beatles (son pseudo était alors Ringo). Il passa au piano et ne l'a pas quitté depuis. Il avait alors 15 ans. Son premier album, En El Comienzo, qu'il enregistra avec Javier Zalba et le groupe Temperamento, fut proclamé meilleur album de jazz 1999 à Cuba. Cet album fut suivi de deux disques en solo (Tiene Que Ver et Elengo), puis, en 2001, il s'est rendu au Japon pour enregistrer No Limit: Afro Cuban Jazz, un album culte. Son public est devenu plus important avec son nouvel album, Zamazu. D'après un critique, « Zamazu est un mélange intelligent et bien séquencé qui laisse une forte impression quant à la personnalité de Robert Fonseca et s'avère prometteur pour l'avenir ». Roberto Fonseca a fait ses premières apparitions internationales en 2001 lors d'une tournée avec le groupe Buena Vista, qu'il accompagna comme pianiste de remplacement du célèbre Rubén González. Lorsque González décéda en 2003, Roberto Fonseca le remplaça pour accompagner Ibrahim Ferrer, alors plus grand chanteur cubain de boléro en vie et autre grande star de Buena Vista. Roberto Fonseca a joué dans ce qui allait être la dernière tournée de Ferrer, et a coproduit l'album « Mi sueño », une collection de boléros traditionnels qui est sortie après la mort de Ferrer en 2005. Cela ne fait aucun doute : la collaboration de Fonseca avec González et Ferrer fut importante pour lui et sa carrière. Elle lui a permis de partager la scène avec des légendes de la musique cubaine telles que Cachaíto López, Guajiro Mirabal et Manuel Galbán, il a donné avec eux plus de 400 concerts dans le monde entier. Ceci dit, dire de Roberto Fonseca que c'est un musicien traditionnel serait ne pas comprendre l'artiste. Certes, on reconnaît nettement des éléments du Son cubain dans sa musique (qualifiée généralement de jazz), mais on y trouve également de la soul afro-cubaine et de la funk. Un mélange détonnant. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.